C'est une des Iles du Salut surnommée "l'île silencieuse".
Pendant la période du bagne, l'île fut affectée aux transportés condamnés à la peine de réclusion cellulaire (cellules sans toit), infligée aux "incorrigibles".
Les conditions étaient les pires. Les forçats étaient contraints à l'isolement. Le silence total était la règle absolue. Tout bruit, même celui de ses propres chaines, entrainait la prolongation de son séjour. Enfermés du matin au soir et condamnés à la confection de brosse de coco, les réclusionnaires avaient pour distraction une heure de promenade et le bain de mer. La nuit, une cheville était prisonnière d'un anneau fixe.
Les vestiges sont en mauvais état. Des ruines importantes y subsistent, envahies par la végétation, ce qui donne à l'endroit une ambiance très particulière. Les plantes et les racines étouffent les cachots.
Durée de la visite : 01h30
A voir :
- La plage de l'archipel
C'est la seule vraie plage. Elle est recouverte de débris de coquillages que l'on utilisait pour fabriquer la chaux. Attention, la mer est très agitée.
- Les cocotiers
De nombreux cocotiers portent les stigmates de la puissance du vent et de la mer
- Le cimetière du personnel
On recense 220 tombes. Là étaient enterrés les gardiens, médecins et religieuses. Les forçats étaient jetés à la mer, ce qui, au fil des décennies, avaient rendu les lieux infestés de requins.
- La piscine des forçats
Elle a été exigée par les médecins du bagne à la fin des années 30 pour prévenir les maladies par carence. La barrière en pierre protégeait du ressac (retour violent des vagues vers le large) et des requins.
- Le ponton d'accostage
Il permet une agréable baignade.
- Les anciens logements
Ils ont été aménagés pour les légionnaires et leurs familles qui viennent ici en repos tandis que d'autres surveillent et entretiennent l'île.
Pendant la période du bagne, l'île fut affectée aux transportés condamnés à la peine de réclusion cellulaire (cellules sans toit), infligée aux "incorrigibles".
Les conditions étaient les pires. Les forçats étaient contraints à l'isolement. Le silence total était la règle absolue. Tout bruit, même celui de ses propres chaines, entrainait la prolongation de son séjour. Enfermés du matin au soir et condamnés à la confection de brosse de coco, les réclusionnaires avaient pour distraction une heure de promenade et le bain de mer. La nuit, une cheville était prisonnière d'un anneau fixe.
Les vestiges sont en mauvais état. Des ruines importantes y subsistent, envahies par la végétation, ce qui donne à l'endroit une ambiance très particulière. Les plantes et les racines étouffent les cachots.
Durée de la visite : 01h30
A voir :
- La plage de l'archipel
C'est la seule vraie plage. Elle est recouverte de débris de coquillages que l'on utilisait pour fabriquer la chaux. Attention, la mer est très agitée.
- Les cocotiers
De nombreux cocotiers portent les stigmates de la puissance du vent et de la mer
- Le cimetière du personnel
On recense 220 tombes. Là étaient enterrés les gardiens, médecins et religieuses. Les forçats étaient jetés à la mer, ce qui, au fil des décennies, avaient rendu les lieux infestés de requins.
- La piscine des forçats
Elle a été exigée par les médecins du bagne à la fin des années 30 pour prévenir les maladies par carence. La barrière en pierre protégeait du ressac (retour violent des vagues vers le large) et des requins.
- Le ponton d'accostage
Il permet une agréable baignade.
- Les anciens logements
Ils ont été aménagés pour les légionnaires et leurs familles qui viennent ici en repos tandis que d'autres surveillent et entretiennent l'île.
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